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Environnement / Biodiversité

Semaine européenne de l'énergie durable

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Du 22 au 26 juin 2020 a lieu la Semaine européenne de l’énergie durable. Un événement important pour CNR, producteur d’électricité 100 % renouvelable et acteur de la transition énergétique, qui fait émerger des solutions durables de production d’électricité.

CNR entend mieux concilier développement industriel et préservation de l’environnement. C’est pourquoi son développement dans les territoires se fait avec une attention particulière portée au respect de l’environnement.

CNR mobilise tous les moyens nécessaires pour favoriser la préservation des ressources naturelles, de la faune, de la flore et encourage également la création d’une filière agrivoltaïque, qui associe productions électriques et agricoles. CNR crée des synergies vertueuses à travers l’entretien de la végétation des parcs avec des ovins, la construction de serres photovoltaïques, ou encore en installant des panneaux en toiture sur des hangars agricoles. La végétalisation des parcs avec des semences sauvages permettent aussi de favoriser les insectes pollinisateurs et d’empêcher le développement des allergènes.

Parc photovoltaïque flottant Ô Solaire

CNR innove sur plusieurs fronts pour encore mieux tirer parti de ses ressources en eau ou en solaire. Elle a aménager une plateforme photovoltaïque flottante sur un bassin d’irrigation géré par le SMHAR, sur le lac de La Madone. Il s’agit de Ô Solaire, le premier parc flottant porté par CNR, qui intègre la production d’énergie renouvelable au sein du réseau d’irrigation.
Dans un premier temps injectée dans le réseau d’électricité, l’énergie produite alimentera à terme les pompes d’irrigation en autoconsommation. Le site participe aussi à une agriculture durable : pour pérenniser et protéger la population aquatique, 16 refuges à poissons sont mis en place sous les flotteurs des panneaux.

Projet BI-O-Rhône

CNR cherche aussi à mieux concilier exploitation hydroélectrique et vie des espèces végétales et animales avec le projet BI-O-Rhône, en partenariat avec les Services Industriels de Genève (SIG) et la Haute École du Paysage, d’Ingénierie et d’Architecture (HEPIA). L’objectif est de limiter les impacts de la gestion sédimentaire sur la faune aquatique.

Il intègre l’observation pendant 5 ans de la population piscicole dans les quatre retenues hydroélectriques entre le Léman et le barrage de Seyssel. Elle s’effectue avant, pendant et après les opérations de vidange, à raison d’une campagne par saison, en couplant les méthodes non intrusives d’échosondage et d’ADN environnemental. À terme, BI-O-Rhône permettra d’adapter les pratiques d’évacuation des sédiments pour préserver au mieux la biodiversité. Ce projet est cofinancé par le fonds européen Interreg France Suisse.